Que savons nous sur la conscience ?

Que savons nous sur la conscience ?

[title size= »1″ content_align= »left » style_type= »single » sep_color= » » class= » » id= » »]Que savons nous sur la conscience ?[/title][fusion_text]Neuroscience[/fusion_text][separator style_type= »none » top_margin= »10″ bottom_margin= »10″ sep_color= » » icon= » » width= » » class= » » id= » »][fusion_text]C’est autour de cette question que débattent les différents invités de l’émission Club Science Politique du dimanche 1er Février sur la radio France Culture.[/fusion_text][separator style_type= »single » top_margin= »5″ bottom_margin= »5″ sep_color= » » icon= » » width= » » class= » » id= » »][fusion_text]Différents thèmes autour de la conscience sont abordés, aussi les échanges vont de la notion de conscience à l’idée de l’inconscience, en passant par l’activité cérébrale lors des états de « comas », la méditation, l’hypnose et la vision des neurologues sur la question.

Pour écouter l’émission vous pouvez cliquer ici.[/fusion_text][title size= »1″ content_align= »left » style_type= »single » sep_color= » » class= » » id= » »]Introduction de l’émission :

Le philosophe André Comte-Sponville estime que « conscience » est l’un des mots les plus difficile à définir. De fait, cette faculté joue un rôle si essentiel qu’elle peut se confondre avec notre existence ou notre essence. D’où l’intérêt que lui portent les philosophies et les religions. La bonne et la mauvaise conscience servent ainsi à établir une distinction entre le bien et le mal. Et l’inconscience renvoie à une absence de morale ou à un déficit de perception du danger ou d’autrui. Que se passe-t-il lorsque la conscience disparaît ? Pendant le sommeil, par exemple, mais aussi dans le coma ? Continuons-nous à exister ? Que perdons-nous lorsque la conscience n’est plus là ? Et que se passe-t-il entre ces deux états de conscience et de non conscience ? Lors de ces états modifiés de conscience tels que les rêves lucides, l’hypnose, l’anesthésie ou la méditation ? Nous pouvons nous interroger sans fin sur cette faculté si intime, si essentielle et si mystérieuse.
Pour lever un coin du voile, nous pouvons aujourd’hui nous tourner vers la médecine qui dispose de puissants moyens d’investigation grâce à des techniques comme l’Imagerie par résonance magnétique fonctionnelle. Les chercheurs peuvent désormais observer le cerveau d’un être vivant pendant qu’il fonctionne. Le neurologue Steven Laureys étudie ainsi les états de conscience altérés dont l’un des plus problématiques est sans doute le coma. Il a ainsi circonscrit la zone du cerveau qui joue un rôle central dans la perte de la conscience. Il s’agit des aires corticales frontopariétales. Lorsqu’elles ne fonctionnent plus, à la suite d’un lésion grave, le patient est plongé dans le coma et ceux qui en sortent recouvrent une activité cérébrale dans cette zone.
Steven Laureys en déduit qu’il existe un « réseau de conscience » comprenant des connexions critiques au plus profond de notre cerveau.

[/title][fusion_text]Pour écouter l’émission vous pouvez cliquer ici.[/fusion_text][separator style_type= »single » top_margin= »5″ bottom_margin= »5″ sep_color= » » icon= » » width= » » class= » » id= » »][checklist icon= »fa-check » iconcolor= » » circle= » » circlecolor= » » size= »small » class= » » id= » »][li_item icon= » »]Les invité(e)s :
Steven Laureys, neurologue, dirige le “coma science group” au centre de recherche de l’université de Liège
Pierre-Henri Gouyon, professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle, à l’Agro Paris-Tech et à Sciences Po
Aude Bernheim, ingenieure des Ponts Eaux et Forêts, doctorante à l’Institut Pasteur
Fabrizia Stavru, chargée de recherche CNRS, elle travaille au sein de l’Unité des interactions Bactéries-Cellules à l’Institut Pasteur.[/li_item][/checklist][fusion_text]

Source : France Culture

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